Échafaudages hors d'usage. Vitres de bureau. Pertes de peinture industrielle. Le tertiaire s'invente enfin une seconde vie.
Une table qui a du vécu :
Régulièrement, Altrad-Plettac réforme une partie de son parc d’échafaudages. Abîmés par de longues années de location, ils sont devenus impropres à percher un ouvrier dans le ciel, mais conservent plus près du sol tous leurs atouts structurels.
Des vitres trop solides pour être gardées :
Une cloison vitrée est taillée selon l’espace qu’elle aménage. Trempée par mesure de sécurité, elle ne se redécoupe pas. Lorsqu’elles sont déposées, ces plaques de verre, pourtant en parfait état, finissent à la déchèterie. Victimes de leurs dimensions figées, leur réutilisation est alors impossible.Seul un projet à leur mesure peut leur éviter ce destin brisé...
Des Clavex à l'infini et pourtant toujours uniques :
La peinture epoxy est une poudre que l'on projette sur des pièces en acier, avant d’être cuite à 200° C. Lors de cette vaporisation, une partie des poudres s’envole dans les circuits d’aspiration, se brassant au fil des journées dans des bacs de récupération.Le mélange obtenu est parfaitement ré-utilisable. Il faut juste accepter que chaque couleur soit unique et imprévisible.